Comment vaincre pour de bon votre fatigue surrénale ?
La fatigue surrénale est un problème de santé qui n’est pas reconnu dans le domaine médical conventionnel et qui ne peut pas faire l’objet d’un diagnostic médical. En effet, bien que les symptômes soient concrets et existent, il convient d’être précis quant à ce trouble : les glandes surrénales ne peuvent pas être « fatiguées » ou « épuisées » de produire leurs hormones. Certains praticiens de la santé utilisent ce terme pour décrire un ensemble de symptômes qui, selon eux, sont causés par une diminution de la fonction des glandes surrénales, responsables de la production d’hormones telles que le cortisol, mais c’est en réalité faux. Cela dit, nous continuerons d’utiliser le terme de fatigue surrénale dans cet article par commodité d’usage et par ce que ce syndrome est connu sous ce nom.
1. QUELS SONT LES PLAINTES PRINCIPALES DE LA FATIGUE SURRENALE ?
- Fatigue persistante : qui ne s’améliore pas même avec un repos adéquat.
- Troubles du sommeil : des problèmes de sommeil, tels que l’insomnie ou la difficulté à s’endormir, sont fréquemment associés à la fatigue surrénale.
- Anxiété et dépression : Certains individus peuvent rapporter des symptômes d’anxiété, de dépression ou de perturbations de l’humeur en relation avec la fatigue surrénale.
- Problèmes digestifs : Des troubles digestifs, tels que des maux d’estomac, des nausées et des problèmes intestinaux, sont parfois mentionnés dans le contexte de la fatigue surrénale.
- Incapacité à faire face au stress : une tolérance réduite au stress, avec une incapacité à faire face aux pressions quotidiennes.
- Baisse de la concentration et de la mémoire : Des problèmes de concentration, de mémoire et de clarté mentale sont souvent signalés.
- Frilosité et difficulté à se thermoréguler : on note souvent des extrémités froides (mains, pieds, nez) et ce malgré la saison.
Il est important de noter que la plupart des symptômes attribués à la fatigue surrénale sont non spécifiques et peuvent donc être associés à de nombreuses autres conditions médicales. La fatigue persistante peut être causée par divers facteurs tels que des troubles du sommeil, des problèmes hormonaux, des conditions médicales sous-jacentes, le stress ou un mode de vie déséquilibré. Il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour un examen approfondi afin de rechercher d’éventuelles autres explications médicales à ces symptômes.
La meilleure façon d’évaluer si vous souffrez d’une fatigue surrénale est de mesurer votre cortisol à plusieurs moments de la journée. Je recommande également en parallèle les dosages des autres hormones surrénaliennes, en particulier la DHEA, qui est souvent altérée aussi dans cette situation.
2. QUE SONT LES GLANDES SURRENALES ?
Les glandes surrénales sont des petites glandes endocrines situées au-dessus de chaque rein, d’où leur nom. Ces glandes en forme de triangle sont essentielles pour le fonctionnement du corps humain, car elles produisent plusieurs hormones qui régulent divers processus physiologiques.
Les glandes surrénales sont composées de deux parties distinctes, chacune ayant une fonction spécifique :
- 1. La médullosurrénale : Cette partie interne des glandes surrénales produit des hormones telles que l’adrénaline (épinéphrine) et la noradrénaline (norépinéphrine). Ces hormones sont libérées en réponse au stress ou à une situation d’urgence, déclenchant la réponse de lutte ou de fuite (« fight or flight »). Elles augmentent la fréquence cardiaque, dilatent les bronches, et mobilisent l’énergie nécessaire pour faire face à la situation.
- 2. La corticosurrénale : Cette partie externe des glandes surrénales produit plusieurs types d’hormones stéroïdiennes, appelées corticostéroïdes. Ces hormones sont classées en trois catégories principales :
- Minéralocorticoïdes : La plus connue est l’aldostérone, qui régule l’équilibre des électrolytes, en particulier le sodium et le potassium, dans le corps, et joue un rôle clé dans la régulation de la pression artérielle.
- Glucocorticoïdes : Le cortisol est le principal glucocorticoïde produit par les glandes surrénales. Il joue un rôle essentiel dans le métabolisme des glucides, des lipides et des protéines. Le cortisol est également impliqué dans la régulation de la réponse inflammatoire et du système immunitaire.
- Hormones sexuelles : Les glandes surrénales produisent également en petites quantités des hormones sexuelles, notamment des androgènes (hormones masculines) et des œstrogènes (hormones féminines).
Le bon fonctionnement des glandes surrénales est crucial pour maintenir l’équilibre hormonal et métabolique dans le corps. Des dysfonctionnements des glandes surrénales peuvent entraîner divers problèmes de santé, tels que le syndrome de Cushing (excès de cortisol) ou la maladie d’Addison (insuffisance corticosurrénalienne). Ce sont des maladies à ne surtout pas confondre avec le problème de fatigue surrénale :
- Maladie de Cushing : La maladie de Cushing est généralement causée par une production excessive de cortisol par les glandes surrénales. Cela peut être dû à une tumeur dans les glandes surrénales (surrénalienne), une tumeur hypophysaire produisant trop d’ACTH (hormone stimulant la production de cortisol), ou à une utilisation prolongée de corticostéroïdes médicamenteux. Les symptômes de la maladie de Cushing comprennent une prise de poids, en particulier autour du visage (visage lunaire) et du tronc, une peau fine et fragile, des vergetures pourpres, une hypertension artérielle, une faiblesse musculaire, des changements émotionnels, et d’autres signes liés à un excès de cortisol.
- Maladie d’Addison : La maladie d’Addison, en revanche, est une insuffisance corticosurrénalienne, caractérisée par une production insuffisante de cortisol et parfois d’aldostérone. Elle peut être causée par des maladies auto-immunes, des infections, des tumeurs ou d’autres troubles affectant les glandes surrénales. Les symptômes de la maladie d’Addison comprennent une fatigue sévère, une perte de poids, une faiblesse musculaire, une hypotension artérielle, une pigmentation de la peau (en particulier sur les zones exposées au soleil), des nausées, des vomissements et des épisodes de choc potentiellement mortels en cas de crise d’insuffisance surrénalienne aiguë.
En résumé, la maladie de Cushing est caractérisée par un excès de cortisol, tandis que la maladie d’Addison est caractérisée par une insuffisance de cortisol et parfois d’aldostérone. La fatigue surrénale n’est ni l’un ni l’autre. La fatigue surrénale est en réalité un dysfonctionnement de l’axe corticotrope.
3. QU’EST-CE QUE L’AXE CORTICOTROPE ?
L’axe corticotrope est un système régulant la production et la libération d’hormones corticotropes dans le corps. Ces hormones sont principalement l’ACTH (hormone corticotrope hypophysaire) et le cortisol (hormone glucocorticoïde). L’axe corticotrope est une partie intégrante de la réponse au stress et joue un rôle essentiel dans la régulation du métabolisme, de la réponse immunitaire et d’autres fonctions physiologiques.
Voici comment fonctionne l’axe corticotrope :
- Hypothalamus : En réponse au stress, à une variation des niveaux de glucose dans le sang ou à d’autres signaux, l’hypothalamus, une région du cerveau, libère une hormone appelée CRH (corticotropin-releasing hormone ou hormone de libération de la corticotropine).
- Adénohypophyse : La CRH voyage jusqu’à l’adénohypophyse, qui est la partie antérieure de l’hypophyse (une petite glande située à la base du cerveau). En réponse à la CRH, l’adénohypophyse libère l’ACTH (hormone corticotrope hypophysaire).
- Glandes surrénales : L’ACTH se déplace vers les glandes surrénales, situées au-dessus des reins. Sous l’influence de l’ACTH, les glandes surrénales libèrent le cortisol dans la circulation sanguine.
- Effets du cortisol : Le cortisol a de nombreux effets dans le corps, que je détaille dans la partie suivante.
- Rétroaction négative : Lorsque les niveaux de cortisol dans le sang atteignent un seuil suffisamment élevé, ils exercent une rétroaction négative sur l’hypothalamus et l’adénohypophyse, inhibant ainsi la libération de CRH et d’ACTH. Cela contribue à maintenir l’équilibre hormonal dans le corps.
L’axe corticotrope est crucial pour permettre au corps de s’adapter aux situations de stress et de maintenir l’homéostasie.
4. LES ROLES DU CORTISOL
Le cortisol est une hormone stéroïde produite par les glandes surrénales, situées au-dessus des reins. Il fait partie des glucocorticoïdes et joue un rôle essentiel dans de nombreuses fonctions physiologiques. Voici quelques-uns des rôles clés du cortisol dans le corps :
- Régulation du métabolisme des glucides : Le cortisol joue un rôle central dans le métabolisme des glucides en favorisant la gluconéogenèse, un processus où le foie synthétise du glucose à partir de précurseurs non glucidiques. Cela augmente les niveaux de glucose dans le sang pour fournir une source d’énergie lors de situations de stress.
- Mobilisation des réserves d’énergie : Le cortisol favorise la dégradation des protéines et des lipides pour libérer des acides aminés et des acides gras, fournissant ainsi des substrats énergétiques supplémentaires lors de situations de stress ou de jeûne.
- Anti-inflammatoire et immunosuppressif : Le cortisol a des propriétés anti-inflammatoires en inhibant la réponse inflammatoire du système immunitaire. Il peut supprimer l’activité des cellules immunitaires, ce qui est important pour éviter des réponses immunitaires excessives ou inappropriées.
- Réduction de l’inflammation : En plus de son action immunosuppressive, le cortisol peut également réduire l’inflammation en inhibant la libération de médiateurs inflammatoires.
- Régulation de la pression artérielle : Le cortisol peut influencer la pression artérielle en régulant la sensibilité des vaisseaux sanguins aux effets des catécholamines, comme l’adrénaline.
- Équilibre hydrique et électrolytique : Le cortisol peut influencer l’équilibre hydrique et électrolytique en régulant la réabsorption du sodium et de l’eau au niveau des reins. L’aldostérone, une autre hormone, joue également un rôle dans ce processus.
- Réponse au stress : Le cortisol est souvent appelé l’hormone du stress car sa libération augmente en réponse à divers stress, qu’ils soient physiques ou psychologiques. Il prépare le corps à faire face à des situations stressantes en mobilisant l’énergie nécessaire.
- Régulation du cycle circadien : Le cortisol suit un rythme circadien, atteignant généralement des niveaux plus élevés le matin pour aider à stimuler l’énergie et des niveaux plus bas la nuit pour favoriser le repos et le sommeil.
Bien que le cortisol ait des effets bénéfiques à court terme, une exposition chronique à des niveaux élevés peut avoir des conséquences néfastes sur la santé, contribuant à des problèmes tels que l’insomnie, la prise de poids et des troubles métaboliques. La régulation précise de ses niveaux est donc cruciale pour maintenir l’équilibre dans le corps.
5. LES SYMPTÔMES D’UN MANQUE DE CORTISOL
Un manque de cortisol, phénomène observé dans le cadre de la fatigue surrénale, peut entraîner plusieurs symptômes. Voici quelques-uns des symptômes possibles d’un manque de cortisol :
- Fatigue chronique : Une fatigue persistante et sévère est l’un des symptômes les plus courants d’un manque de cortisol. Les personnes peuvent se sentir constamment épuisées, même après un repos adéquat.
- Perte de poids : Une diminution de l’appétit et une perte de poids non intentionnelle peuvent survenir en raison de l’impact du manque de cortisol sur le métabolisme.
- Hypotension artérielle : Un manque de cortisol peut entraîner une diminution de la pression artérielle, provoquant parfois des étourdissements, des évanouissements ou une sensation de faiblesse.
- Hypoglycémie : Une insuffisance en cortisol peut perturber la régulation du glucose sanguin, entraînant une hypoglycémie (faible taux de sucre dans le sang). Cela peut se traduire par des symptômes tels que des tremblements, une confusion et une irritabilité.
- Douleurs musculaires et articulaires : Les personnes souffrant d’un manque de cortisol peuvent ressentir des douleurs musculaires et articulaires, ainsi qu’une faiblesse musculaire.
- Troubles gastro-intestinaux : Des symptômes tels que des nausées, des vomissements, des maux d’estomac et des diarrhées peuvent survenir en raison de l’impact du cortisol sur le système gastro-intestinal.
- Troubles du sommeil : Des problèmes de sommeil, tels que l’insomnie ou une somnolence excessive, peuvent être associés à un cortisol insuffisant.
- Chute de cheveux : Chez certaines personnes, un manque de cortisol peut conduire à perte de cheveux excessive et de longue durée.
- Sensibilité au froid : Une diminution du cortisol peut affecter la régulation de la température corporelle, rendant les individus plus sensibles au froid.
- Symptômes psychologiques : Le manque de cortisol peut également affecter la santé mentale, entraînant des symptômes tels que la dépression, l’anxiété et des problèmes de concentration.
Il est important de noter que ces symptômes peuvent varier d’une personne à l’autre et que d’autres conditions médicales peuvent également provoquer des symptômes similaires. Consultez votre médecin dans le doute.
Dans le cadre de la fatigue surrénale, le cortisol n’est pas le seul à être altéré. La DHEA peut être anormalement haute ou basse.
6. LA DHEA DANS LA FATIGUE SURRENALE
La DHEA (déhydroépiandrostérone) est une hormone stéroïde produite naturellement par les glandes surrénales. La DHEA a plusieurs rôles dans l’organisme, bien que sa fonction exacte puisse varier en fonction de l’âge et du sexe.
- 1. Précurseur des hormones sexuelles : La DHEA est un précurseur des hormones sexuelles, à la fois des hormones masculines (androgènes) comme la testostérone, et des hormones féminines (œstrogènes). Dans le corps, la DHEA est convertie en d’autres hormones en fonction des besoins hormonaux.
- 2. Régulation du métabolisme : La DHEA joue un rôle dans la régulation du métabolisme des glucides, des lipides et des protéines. Elle peut influencer la façon dont l’organisme utilise et stocke l’énergie.
- 3. Effets sur le système immunitaire : La DHEA peut avoir des effets sur le système immunitaire en modulant la réponse inflammatoire et en agissant sur certaines cellules immunitaires. Cela peut jouer un rôle dans la défense contre les infections et les maladies auto-immunes.
- 4. Effets sur la fonction cognitive : Certains chercheurs suggèrent que la DHEA peut avoir des effets positifs sur la fonction cognitive et aider à atténuer le déclin cognitif lié à l’âge. Cependant, la recherche dans ce domaine est encore en cours.
- 5. Effets sur la santé osseuse : La DHEA peut contribuer à la santé osseuse en influençant le métabolisme osseux et en favorisant la densité minérale osseuse.
Autrement dit, l’altération de la DHEA, qui peut se produire dans le cadre de la fatigue surrénale, risque de provoquer d’autres symptômes supplémentaires. Dans ma pratique, j’ai très souvent observé des troubles hormonaux liés aux hormones sexuelles chez les personnes souffrant d’un dysfonctionnement de l’axe corticotrope. Ceci dit, la bonne nouvelle est que travailler à l’amélioration de l’axe corticotrope aura des répercussions bénéfiques sur toutes les hormones produites par les glandes surrénales. De ce fait, sur quoi faut-il travailler pour renverser sa fatigue surrénale ?
7. TRAVAILLER SON RYTHME CIRCADIEN POUR AMELIORER SA FATIGUE SURRENALE
Le rythme circadien est un cycle biologique qui se répète environ toutes les 24 heures et qui influence divers processus physiologiques et comportementaux chez les organismes vivants. Il est largement répandu dans le règne animal, végétal et même chez certains microorganismes.
Des perturbations du rythme circadien, telles que celles liées aux changements de fuseau horaire ou au travail nocturne, peuvent avoir des implications pour la santé, y compris des troubles du sommeil, des problèmes métaboliques et des risques accrus de maladies chroniques.
En résumé, le rythme circadien est un mécanisme biologique interne qui orchestre la synchronisation de nombreuses fonctions physiologiques et comportementales avec le cycle de 24 heures du jour et de la nuit. Il joue un rôle crucial dans le maintien de l’homéostasie et de la santé globale des organismes vivants.
8. REDUIRE SA CHARGE ALLOSTATIQUE
La charge allostatique est un concept en biologie du stress et en médecine qui se réfère à l’accumulation cumulative des réponses physiologiques du corps au stress chronique.
Le terme “allostasie” se réfère à l’ajustement dynamique de l’organisme pour faire face aux défis environnementaux et maintenir la stabilité interne, connue sous le nom d’homéostasie. Cependant, une charge allostatique excessive, due à une exposition prolongée au stress, peut dépasser la capacité d’adaptation du corps, entraînant des dysfonctionnements physiologiques et des problèmes de santé.
Réduire sa charge allostatique consiste à bâtir une résilience face au stress, afin de rétablir l’équilibre.
La charge allostatique est souvent considérée comme un concept holistique qui prend en compte la combinaison de divers facteurs de stress physiologiques et psychosociaux. La recherche dans ce domaine vise à mieux comprendre comment le stress chronique affecte la santé globale et à identifier des stratégies pour réduire la charge allostatique, favorisant ainsi le bien-être à long terme. Des pratiques telles que la gestion du stress, l’exercice régulier et des habitudes de vie saines peuvent jouer un rôle important dans la réduction de la charge allostatique.
9. TRAVAILLER LA RESILIENCE DE SON SYSTEME NERVEUX
Le système nerveux autonome est divisé en deux branches principales : le système nerveux sympathique et le système nerveux parasympathique. Ces deux systèmes ont des rôles opposés, mais complémentaires, dans la régulation des fonctions automatiques du corps. Voici les principales différences entre le système nerveux sympathique et le système nerveux parasympathique :
Le mode sympathique active le corps en situation de stress ou de danger, préparant l’organisme à l’action (réponse de “lutte ou fuite”). A l’inverse, le mode parasympathique favorise la détente et la récupération, conservant l’énergie et soutenant les fonctions de repos et de digestion. Normalement, il y a une balance équivalente entre le mode sympathique et parasympathique, mais pour les personnes en situation de stress constant, la balance se fait moins et il y a généralement une dominance du mode sympathique.
- Face à une situation de stress :
- le Sympathique : donne une réponse rapide face à une situation de stress, prépare l’organisme à l’action immédiate.
- le Parasympathique : donne un espace de récupération après une situation de stress, il favorise la détente.
En résumé, le système nerveux sympathique et le système nerveux parasympathique fonctionnent de manière opposée pour réguler les fonctions automatiques du corps, permettant ainsi une adaptation efficace aux différentes exigences environnementales et internes.
Dans le cadre de la fatigue surrénale, les personnes sont souvent bloquées sur le mode sympathique et c’est cela qu’il faut chercher à équilibrer en créant une belle résilience du système nerveux.
10. EN CONCLUSION
La « fatigue surrénale » est un problème de santé qui s’inverse facilement si l’on sait exactement quels mécanismes sont en jeu : un dysfonctionnement de l’axe corticotrope. Ne perdez donc pas espoir et faites-vous accompagner. Vous pouvez aussi suivre mon programme Vaincre POUR DE BON la fatigue surrénale sur www.estellecastellanos.fr.
Caroline, rédactrice en chef d’Actualité France.
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